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Liberté de la presse : Israël et violence toujours indissociables

par Redaction

Récemment lors de son 67ième anniversaire, Israël avait bombardé Gaza. Une façon plutôt étrange de le fêter, les palestiniens parleront quant à eux, d’incidents quotidiens. Ce samedi lors de la journée mondiale de la liberté de la presse en Israël, l’armée israélienne a encore fait des siennes. Comme à son habitude elle a usé de violence. Cependant une question nous heurte l’esprit, où se trouve la logique d’un état qui veut la paix mais qui utilise la violence tous les jours ?

Ce qui s’est passé

Les faits se sont alors déroulé le samedi 2 mai 2015, à Bethléem, lors de la journée mondiale de la liberté de la presse. Tsahal a attaqué un groupe de journalistes en Cisjordanie, causant la blessure d’un certain nombre de Palestiniens. L’armée israélienne a choisi de varier ses attaques, ainsi, ce sont des grenades assourdissantes et des gaz lacrymogènes qui ont été utilisés, l’attaque avait alors commencé dans le nord de Bethléem. Hormis des journalistes palestiniens, d’autres journalistes ont également souffert de suffocation due à des gaz lacrymogènes.

La culpabilité et la violence de l’armée israélienne ne font plus aucun doute. Elle le prouve tous les jours. Mais le plus surprenant sont les soutiens apportés à cette armée, surtout l’été dernier depuis lequel elle est qualifiée d’armée la plus morale du monde. Il suffit de voir le contexte pendant lequel cette attaque a eu lieu, et d’analyser le rôle qu’a voulu jouer Netanyahu lors des attentats de Paris en janvier dernier, pour se rendre compte de la supercherie.

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2 commentaires

yep 4 mai 2015 - 6 h 42 min

Un document, intitulé Unlawful and deadly: Rocket and mortar attacks by Palestinian armed groups during the 2014 Gaza/Israel conflict, fournit des éléments montrant que plusieurs attaques lancées depuis la bande de Gaza constituaient des crimes de guerre. Six civils, dont un petit garçon de quatre ans, ont été tués en Israël dans le cadre d’attaques de ce type, au cours de ce conflit qui a duré cinquante jours. Lors de l’attaque la plus mortelle attribuée à un groupe armé palestinien, treize civils palestiniens, dont onze mineurs, ont été tués lorsqu’un projectile tiré depuis la bande de Gaza s’est écrasé dans le village d’al Shati.

«Des groupes armés palestiniens, dont la branche armée du Hamas, ont à maintes reprises lancé des attaques illégales durant ce conflit, tuant six civils et en blessant d’autres. En menant ces attaques, ils ont fait preuve d’une indifférence flagrante vis-à-vis du droit international humanitaire et des conséquences de leurs violations sur les civils, que ce soit en Israël ou dans la bande de Gaza», a déclaré Philip Luther, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.

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MAUVIILLAIN 24 janvier 2016 - 20 h 21 min

Israël ne pourrait commettre tant de forfaits sans la caution morale des Etats occidentaux et les mensonges dispensés par les médias.
Révoltant

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